Candidature de Argog (Acceptée)

Prénom : Argog

Nom : Crorage

Âge : Jeune adulte

Race : Tauren

Alignement :
- Morale : Mauvais
- Ethique : Neutre

Affiliation : Aucune, solitaire et voué a lui-même

Faction : Horde

Classe : Druide

Spécialisation principale : Farouche dû à sa discrétion et sa célérité au combat

Origine : Reflet-de-Lune

Domicile : Errant

Dépendance : La soif de vengeance

Niveau : 82 (augmentera dans le futur)

Présentation RP :

Argog est né à Reflet-de-Lune, il menait une vie prospère, sans encombre. Il commençait sont apprentissage pour devenir un druide aimant la nature et sauvegardant cette dernière tout en rétablissant ses alliées au combat. Mais le destin en a décidé autrement. Son apprentissage lui demandait de partir en Orneval, au bord du lac près du Refuge de Vent-d'Argent pour y survivre avec un membre de sa famille, sa mère, pour le protéger.
Un jour, le camp se fit attaquer pas des elfes et orcs renégats, vêtu d'habits délabrés en recherche de ressources. Argog était jeune et novice en combat, il ne pu retenir l'assaut de ces monstres et a fuit en laissant sa propre mère vouée à elle-même. Il s'en voudra toute sa vie en se torturant l'esprit de terribles songes. Il s'était réfugier un peu plus à l'Ouest entre quelques arbres près du sanctuaire D'aessina, lieu où il avait l'habitude de se rendre pour y méditer. Il avait dressé un piètre campement pour y survivre. Il s'était intéressé  à la culture des plantes et des ses propriétés médicinales et alimentaire et chassait pour survivre.
Un jour, un tauren avait repéré son camp et s’approcha, il disait :" Que faite vous là mon jeune amis, dans cette forêt des plus hostile !". Je ne lui répondit pas. Il me disait aussi :" Je peut te fournir mon aide dans ta quête en te mettant à dispositions mes services". Jeune et espérant plus rien de la vie hormis la mort, j'accepta. Je parti chassait du gibier pour nous nourrir, j'avais confiance en mon vieil  amis tauren. En retournant au camps, plus rien. Le campement était détruit, mes biens dérobés juste la nourriture que j'avais sur moi pour survivre. D'un coup une colère dont nul ne peu connaître l’existence m'envahit, un mélange de rage et de déception, je hurlais, je tuais tout ce qui bougeais, j'ai était  trahis pas un des miens, un être du même sang. Depuis ce jour je n'eut plus confiance en personne même plus
à la vie seulement à la vengeance. Il avait laissé tomber une lettre verdâtre et déchiré par le temps où il était inscrit :"L’Incarnadine s’éveille. Nous cherchons autant de lames aiguisées que d’esprit affutés pour renforcer nos rangs dans notre quête.

L’incarnadine est un ordre voué aux ténèbres par destin, et non par désir. Nous nous donnons mission de trouver et mettre hors d’état de nuire les artefacts maudits qui jonchent le monde. Nous ne sommes pas un reliquaire et ainsi, lorsque la tâche l’implique, nos membres prennent les armes.

Défraiement pour paiement et possibilité de conserver les butins pris pendant vos missions. Toute candidature sera étudiée. Contactez Lisysse Elwaren par voie postale ou rendez-vous directement sur l’île de Fenris. »    Un groupe de personne à la recherche d'artefacts et tout celà dans un ordre voué aux ténèbres, ça me plait. Je pris alors la route, déterminé, en direction d'Orgrimmar la grande ville orc; tout en prenant soin de continuer mes recherches sur les plantes des contrées que je traversais.
Arrivé à Orgrimmar, je pris le zeppelin en direction de Brill, village Réprouvé où j'eut restitué des informations au sujet de L'île de Fenris. Je partis alors à la recherche de cette dernière. Arrivé au bord du lac Lordamere, je vis cette île, calme et inquiétante. La brume froide qui j’inhalais me donnait froid dans le dos, mais déterminé je me métamorphosait en forme de vol et je tournais au-dessus du donjon qui surplombe l'île tel un vautour ayant repéré sa proie et je poussa un cri perçant qui résonna dans toute l'île dans le but de voir si quelqu'un réagissait : " Crrrroooooooooaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrr...... !"

Feutré marchait sous le couvert des pins autour du fort, à la recherche de branches et pierres utiles à la création de carreaux. Il avait ainsi passé sa journée à vagabonder faisant la rencontre de quelques ours sauvages dévorant un malheureux réfugié égaré et de loups s'entretuant pour savourer le cadavre d'un petit écureuil.

"Pauvres bougres, toujours là où il faut pas !"

Le réprouvé se souvenait encore d'avoir explosé la tête de l'un des leurs d'un tir bien placé. Il avait malencontreusement confondu l'humain avec un tronc. Dans tous les cas son entraînement au tir avait porté ses fruits, il était toujours aussi précis. Une tombe anonyme creusée de plus.

La journée touchait à sa fin, son sac rempli de branches bien solides, Feutré décida de retourner à la base pour s'atteler au montage des carreaux.
Soudainement un hululement déchira le ciel:

" Crrrroooooooooaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrr...... !"

Levant la tête, surpris, le réprouvé aperçu un oiseau spectaculaire survoler les ruines du fort.

"UNE CORNEILLE, JE VOIS UNE CORNEILLE !!"

Lâchant son sac, Feutré se précipita en dessous du vol de la bête.

"C'est un signe ! ça ne peut qu'être un signe de maître Chevrécrisse ! Il m'envoie un cadeau pour tous mes efforts !"

Une fois à portée de voix, Feutré essaya de capter son attention tout en agitant les bras dans tous les sens.

"PETIT, PETIT, PETIT, VIENS ICI ! JE SUIS LA MA PETITE CORNEILLE !"

Encore un oiseau ! Mais vraiment elle n'en peut plus des oiseaux ! Et celui là croasse faux !

Toutefois, cet oiseau a l'air en détresse... Bah v'la qu'elle se met à être sentimentale ! Mais ma fille ! ça paye rien d'aider les oiseaux en détresse !

Puis cet idiot de Le Noir qui renifle à la recherche de son corbeau perdu ! Il a levé la tête lui aussi, puis s'est détourné déçu... Il faut qu'elle lui retrouve son corbeau, il a l'air tellement bizarre depuis qu'il l'a égaré... Elle sait ce que c'est elle, un familier fugueur, les siens passent leur temps à disparaître ... Elle pourrait essayer de lui ramener n'importe quel corbeau, parce que franchement, il foutait les jetons le sien ! Mais il a l'air de reconnaître quand c'est pas le bon.  Elle renifle avec désapprobation... C'est pas une perte ce corbeau, mais un collaborateur vaseux et désemparé... ça sert à rien !

Elle regarde Chouchou, elle pourrait peut être essayer de trouver un chien à Skalla ? Pourquoi un corbeau, et si moche en plus ? Et puis un chien comme Chouchou ! Un seul corps à nourrir et DEUX têtes pour rapporter le gibier ! En plus, elle l'a eu pour une bouchée de pain, l'orc superstitieux à qui elle l'a acheté croyait avoir capturé un démon...

Revenant à la réalité, elle regarde l'oiseau qui décrit des cercles autour du fort.

Préparant un filet, elle tente de viser juste pour ne pas abimer les ailes du rapace...

Autant qu'elle le capture elle-même, un rapace pour un chasseur, ça peut être un compagnon utile et fidèle... Alors allons y ! Ne pas le blesser, le mettre en confiance, il ne rapportera peut être pas autant de gibier que Chouchou mais elle n'a pas encore d'oiseau... Et puis peut être que ce stupide demi-elfe voudra l'adopter et qu'elle n'aura pas à retrouver cet abominable corbeau ! Le temps c'est d'l'argent ! Vaut mieux dresser un aigle que chercher un corbeau bon à rien !

Devant lui Splendeur restait interdite, abasourdie de sa capture !

Tapant du pied d'agacement en l'entendant se moquer ouvertement d'elle -mais qu'est ce qui c'était donc passé au Sépulcre ! Jamais avant il n'aurait osé- elle marmonna entre ses dents !

"Bah délivre le Le Noir ! ça vaut rien un oiseau tauren ! Encore un de ces foutus druides à cornes ! Faudrait prévenir quelqu'un au fort ? c'est peut être une attaque aérienne ?"

Docile, Skalla Grim sortit sa dague et entrepris de couper les mailles emmêlées, insensible aux hurlements de Splendeur qui voyait son filet détérioré...

Il tendit une main à la peau diaphane et dépigmentée au tauren...

"Bienvenue Druide"

Splendeur toisa l'individu qui lui avait fait imaginer qu'elle aurait un nouveau familier...

"Faudra me réparer ça Le Noir !" elle montra le filet "Je vais avertir au donjon, restez là tauren"

Et elle partit d'un pas assuré, son nouveau chien avec UN corps à nourrir mais DEUX têtes travailleuses la suivant, tandis que Skalla Grim souriait au nouvel arrivant.

Argog encore furieux de ce qui vient de lui arrivé vit deux gobelins s'approcher de lui, il se prépara au pire, il était sur ses gardes. En voyant un des gobelins couper ses liens et ne faisant que peu attention à sa furiosité, il se calma et dit :


Le tauren regardant le premier gobelin d'un air agressif et voyant l'autre partir d'un pas assuré :"

"Bon...ce n'est peut-être pas le moment de discutailler. Je m'appelle Argog Crorage, fils d'un grand druide ! et je présume que vous êtes un des membres de la guilde que l'on nomme "Incarnadine" ?

Le druide voyant le gobelin sourire s'apaisa mais était toujours méfiant et parle avec une certaine distance au protagoniste.

HPR Skalla Grim est un elfe de sang, enfin un bâtard d'humain et d'elfe...

IRP : Le guerrier tendit la main pour l'aider à se relever, et ramassa le précieux filet de son employeuse, les yeux pétillants de malice... Bien sûr il lui réparerait ! Mais il n'allait pas laisser l'oiseau, enfin le druide, s'abimer les ailes !

"Vous êtes ici sur les terres de l'Incarnadine en effet, je pense que Splendeur trouvera Dame Lisysse Elwaren ou un officier, nous pouvons nous rapprocher"

Regardant autour de lui, il chercha le mort-vivant des yeux, il était sûr de l'avoir senti ? où diable était-il passé ?

[HRP] : Autant pour moi, désolé de la confusion. [HRP]

IRP :

Argog était enfin arrivé à son but, trouvé l'Incarnadine et il est juste en face de leur demeure. Le druide remercia l'elfe d'un signe de tête et s’avança avec cette dernière juste devant le fort presque en ruine. Il pouvait apercevoir de la mousse qui commençait à pousser sur les murs et sur l'allée pavée sur lesquelles ils étaient arrêté en attendant une certaine Lysisse Elwaren, sans doute leur chef se dit le druide.

Argog se demandait en avançant jusqu'au donjon où était passer le mort qui s'agitait en dessous de lui quand il volait...
Peut-être me cherche t-il encore ? se demanda le tauren
"Peu importe" se disait t-il en marmonant des mots incompréhensible, tout en jettant un rapide coup d'oeil derrière lui en signe de méfiance des individus qu'ils l'entourent et de l'environnement lui même.

Le tauren paraissait nerveux, rare pour un druide ? Encore qu'il ne connaissait pas tant de druide après tout...

Dans le bâtiment, il lui semblait entendre les pas de Splendeur et sa petite voix

"Dame Elwaren ? Dame Elwaren ? Quelqu'un ? "

Elle semblait peiner à trouver son chemin... Etrange comme une chasseresse de sa qualité était si peu capable de s'orienter...

Il percevait ses appels, regardant le nouveau venu il se demanda s'il entendait aussi, ou si comme avec le Seigneur Ehodar il communiquait avec Splendeur par la pensée... Jusqu'à présent il ne s'était jamais posé ce type de question, il comprenait les autres et leurs intentions, peu lui importait comment.

Splendeur continuait " Dame Elwaren ? Seigneur Belk ? Quelqu'un ! Le Noir garde un prisonnier ! Enfin on a capturé une corneille qui s'est changée en vache et qui veut postuler ! Il y a quelqu'un ????"

Il se dit qu'il aurait du inverser les rôles, la laisser en surveillance et aller avertir, le temps qu'elle s'y retrouve dans tous ces couloirs, le druide aurait pris racine : un tréan de pierre fossilisé !

D'énervement il se gratta le bras, grimaçant quand la peau partit en lambeaux, nouveau ça aussi ! Qu'est ce que ce fichu prêtre lui avait fait ! Les lambeaux tombèrent et l'épiderme se reforma aussitôt, masquant les griffures brunâtres qu'il s'était infligé. Il jeta un coup d'oeil au tauren dont l'attention paraissait ailleurs.

"Ils doivent être en réunion, ou sortis... Elle va bien trouver un officier, il faut patienter"

Il fit un effort pour meubler le silence "vous n'avez pas de monture ? c'est pratique de voler ? "

Il sentait Feutré chercher l'oiseau dans les buissons... Peut être savait-il lui, où se trouvaient les responsables ? Il était là depuis plus longtemps qu'eux.

"Dame Elwaren ? Seigneur Belk ? Quelqu'un ! Le Noir garde un prisonnier ! Enfin on a capturé une corneille qui s'est changée en vache et qui veut postuler ! Il y a quelqu'un ????"

Les paroles de Splendeur remontèrent doucement jusqu’au bureau de l’Incarna. Cette dernière s’apprêtait à lire une lettre de Fossoyeuse, fraichement arrivée. Dans le coin de la pièce, son geist restait fixe dans l’obscurité. Il regardait Lisysse, attendant l’ordre. Elwaren lâcha un léger soupire et quitta son siège, afin de prendre la direction des escaliers. Elle transperça du regard l’horrible créature, qui suivit l’Incarna immédiatement.

Porte-Peste descendait froidement les escaliers, le bout de sa cape noire frappait les marches. Elle tendit sa main face à elle en claquant des doigts. Le geist doubla l’elfe et descendit vivement.

La créature courue à travers la pièce commune, jusqu’à arriver rapidement à l’entrée du donjon. Il lorgnait sur le tauren, comme si le geist tentait de se rappeler un souvenir.

Le chevalier de la mort sortit à son tour du donjon. Malgré son physique rêche, l’elfe dégageait une certaine stature. La cicatrice qui trônait sur son visage s’était mal refermée, renforçant l’aspect sinistre de l’Incarna. Sa présence glaciale fit reculer le geist de quelque pas. Le regard damné de Lisysse plongea dans celui d’Argog.

Argog devait faire preuve de patience face à la situation, quand l'elfe lui posa une question des plus surprenante... le druide regarda la guerrière bizarrement et répondu :

"Heu...bien sûr que non les druides n'utilisent que très rarement leurs montures ! Il est bien plus pratique de ce transformer directement pour..."

Le druide fut interrompu par l'arrivée d'une créature monstrueuse qui sortait du donjon et qui regardait ce dernier avec insistance.

Sans que Argog ne pu émettre une émotion, une elfe qui dégageais une aura morbide arriva devant lui. Un chevalier de la mort, se dit le tauren, il en avait vu que très rarement durant son existance. L'elfe dévisagea son hôte en le regardant de haut en bas et dit :


Argog était assez impressionné, car le chevalier de la mort n'était pas comme les autres elle était plus froide et sèche dans ses paroles et son regard était  menaçant.
Le druide s'exclama :


Argog se mit à regarder le chevalier de la mort comme elle le faisait pour qu'il ne se sente pas trop inférieur, il haïssait ça !

L’Incarna détaillait le tauren, intriguée par la phrase qu’il avait prononcé.


L’elfe se détourna doucement. Elle lança un regard à Skalla et ordonna à son geist de rester à l’extérieur. La silhouette du chevalier de la mort s’enfonça dans le donjon.